13 juillet 2015
La Grèce sous protectorat allemand
Ceux qui, pouvoir en main, voudraient tirer des enseignements de la crise grecque et de son apparente résolution n’ont qu’à intégrer ceci : il suffit que l’absence de solution fasse encore plus peur que les coups promis pour que l’acceptation des coups efface la peur panique du pire. Bien évidemment, on appellera alors « aide » ce qui est donné en contrepartie de l’emprise totale du fort sur le faible.
Ceci ayant été observé, on en déduira que tous ceux qui sont déjà dans les bonne grâces du tout puissant et s’y maintiennent ne sont finalement que les gestionnaires zélés et efficaces de la domination qui les écrase déjà.
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