
De longue date, il me semble que quelque chose ne tourne pas rond dans notre manière de réduire l’écriture à une simple question de transposition, dans l’ordre du visible, de phénomènes phonétiques observés dans l’ordre des choses audibles. Cette perspective fait de la langue la seule structure structurante, sans suffisamment s’attacher aux propriétés propres et autonomes de la trace. Comment sortir de ce logocentrisme ?
L’exemple chinois. – Le dernier ouvrage de Léon Vandermeersch revient, dans sa première partie, sur...
[Lire la suite]