
Dominique Piferini dédicaçait son précédent roman, La Photo couleur sépia, à « tous les maladroits de la tendresse, à tous les écorchés de l’abandon, tous les funambules du sentiment qui tremblent de perdre l’équilibre, tous les danseurs-étoiles du grand ballet de la vie. » C’était son deuxième livre. Le premier, Le Portrait blanc, était dédié « Aux hommes… à l’Homme, sans qui je n’aurais jamais découvert le vertigineux chemin de croix qu’est la passion. » Point de dédicace dans le toisième roman, qui vient de...
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