11 février 2012
Speranzze d’eri, dilude d’oghje : indignemuci !
Avec un certain retard — celui que l’on prend lorsqu’il n’y a plus aucune bonne nouvelle à attendre des plus solides dispensateurs de belles promesses —, j’ouvre enfin mon courrier en souffrance et découvre Indigneti vi !, le pamphlet de Stéphane Hessel...